UNE PSEUDO-ASSOCIATION ACCUSE SAMUEL ETO'O D'AVOIR RENONCE A SA NATIONALITE CAMEROUNAISE
Une polémique enflamme les réseaux sociaux depuis que des accusations infondées ont été portées contre l'ancienne star du football, Samuel Eto'o. L’association des Clubs Amateurs du Cameroun a affirmé que l'ex-international camerounais aurait acquis la nationalité espagnole en 2007 et, par conséquent, ne devrait plus revendiquer sa nationalité camerounaise.
Ces accusations ont été lancées par une association peu connue, dont l'objectif semble être de ternir l'image de Samuel Eto'o. Selon cette association, Eto'o aurait renoncé à sa nationalité camerounaise lorsqu'il a obtenu la nationalité espagnole. Les représentants de l'association affirment que, légalement, il ne devrait plus être considéré comme Camerounais.
Les supporters de Samuel Eto'o ont rapidement manifesté leur soutien à l'ancien footballeur. Sur les réseaux sociaux, de nombreux messages de solidarité ont été publiés, rappelant les contributions significatives d'Eto'o au développement du football camerounais et ses œuvres de charité dans le pays.
Cette campagne de diffamation semble être une tentative délibérée de déstabiliser Samuel Eto'o, qui a récemment été impliqué dans des réformes majeures au sein de la FECAFOOT. Ses initiatives pour moderniser le football camerounais et lutter contre la corruption ont probablement dérangé certains intérêts établis.
Cette affaire illustre une fois de plus les défis auxquels sont confrontées les personnalités publiques en Afrique, où des accusations infondées peuvent rapidement prendre de l'ampleur. Samuel Eto'o, avec sa détermination et son amour pour le Cameroun, continue de rester un symbole d'inspiration pour de nombreux jeunes.
Pour l'instant, Samuel Eto'o reste concentré sur ses missions à la tête de la FECAFOOT et sur ses projets philanthropiques. Ses détracteurs devront fournir des preuves substantielles pour soutenir leurs allégations, ce qui semble peu probable au vu de la réaction unanime de soutien en sa faveur.
Brice Bernard Ndjongo (DPA)