CAN 2024, LA CRAINTE DES EMBOUTEILLAGES DE CIRCULATION EN COTE D’IVOIRE

D’après le Cocan le (comité d’organisation de la CAN) 2024 la côte d’ivoire fera face à un criarde soucis d’embouteillage durant la période de la Coupe d’Afrique Des Nations De Football qui se tiendra dans le pays de DIDIER DROGBA. Cette situation est résultante de l’absence des voies de circulation dédiée pour la circulation effective des équipes et des délégations durant la compétition. Selon le pays hôte toutes les dispositions sont prises pour remédier à ce problème Des parkings relais et des bus ont été mis en place pour faciliter le transport du public au stade. des routes ont été construits en amont de la Coupe d'Afrique des nations (CAN), qui se doit se dérouler en Côte d’Ivoire du 13 janvier au 11 février 2024. Mais à Abidjan, où la vie est d’ordinaire rythmée par des bouchons spectaculaires, la situation chaotique du trafic lors des matches-test fait redouter que les embouteillages gâchent la fête du football.

Pour les populations, cette position des autorités ivoiriennes n’est pas vraie, car plusieurs témoignages font état des embouteillages à ne pas en finir poussant ainsi les amoureux du football de parcourir plusieurs kilomètres à pied pour pouvoir se rendre dans des stades. Une situation donc le Cocan confirme la thèse d’après Simon Nobou, le vice-président de la commission de la logistique et des transports du Cocan, le reconnaît : les embouteillages sont "un sujet de préoccupation majeure" tant pour le comité d’organisation que pour les autorités ivoiriennes. Plusieurs réunions ont été organisées à ce sujet avec les ministères concernés et la primature. "Il y a encore des réglages à faire, mais on va y arriver, j’en suis convaincu", ajoute Simon Nobou, le président Alassane Ouattara semble avoir fait du bon déroulement de la CAN une affaire personnelle ceci c est traduit avec la nomination d’un nouveau patron à la tête du ministère des sports en la personne de Robert Beugré Mambé,

Pour limiter le problème, le comité d’organisation encourage les spectateurs à privilégier le covoiturage et les transports publics. Une situation triste pour les taximen. Le manque à gagner est réel pour les professionnels du transport.  Le ministre des Transports a bien donné comme consigne de fermer le moins de voies possibles à la circulation, mais il semble compliqué d’en faire totalement l’économie.

Brice Bernard Ndjongo